Je ne peux m'accommoder d'une existence qui brime l'idéal...
Appelez-moi Mademoiselle Bovary.
(Sinon j'ai mes partiels, tout le tralala... Mais j'espère que vous avez passé de bonnes fêtes.
Les miennes étaient excellentes, je n'en suis point déçue. Je vous montrerai bientôt à quel point
je suis une enfant gâtée, une amoureuse comblée, une fille aimée !
Mais là tout de suite je suis une étudiante au bord du claquage cérébral.
je suis une enfant gâtée, une amoureuse comblée, une fille aimée !
Mais là tout de suite je suis une étudiante au bord du claquage cérébral.
On se retrouve l'année prochaine ?!)
ma pauvre louloute... on se demande comment en un demi-siècle les études ont pu devenir aussi stressantes, les enjeux aussi destructeurs ! tiens le coup.
RépondreSupprimerA part ça, non, Mademoiselle Bovary ne te va pas du tout : pense à l'espagnol, c'est parce qu'elle est la "femme de Bovary" ("la de...") que tout s'effondre. Quant à l'idéal d'Emma... on peut en reparler... Aux armes enfants de la crise ! aux armes !